Championnat de France 1ère DIV.

Si l'on peut penser que le système de sélections permettant l'accès à la 1ère Division s'appuie sur une base suffisamment étoffée de combattants en ce qui concerne le championnat masculin, force est de constater que dans certaines zones, le niveau de concurrence est très faible chez les féminines. Et c'est normal : des championnats départementaux avec une quinzaine de combattantes pour les 7 catégories, des championnats régionaux avec une participation qui oscille entre 2 et 3 judokas pour les -48 et +78 kg, et entre 15 et 18 pour les catégories les plus fournies ; donc des championnats de zones avec des catégories guères relevées qui permettent l'émergence massive des juniors (phénomène inconnu chez les masculins ), et le retour de combattantes âgées de 33 à 40 ans, qui, ayant jugé le niveau, s'entraînent fort 1 an et se retrouvent en 1ère division .....(certes anecdotique, mais révélateur.....)
Dans ces conditions, pourquoi ne pas réinstaurer un passage obligé par un championnat de France 2ème DIV où il n'est jamais aisé de passer, de par la densité du plteau, quitte à élargir le nombre de qualifiés pour que la 1ère DIV soit suffisamment étoffée.
Certains judokas d'expérience, et professeurs pensent même que ce système conviendrait mieux, aussi, aux combattants masculins.... simple suggestion.
Pascalou.

il est clair que certains se vois qualifier au 1D en ayant pas le niveau pour cela mais en ^même temps çela donne la chance à certains de pouvoir s'exprimer et surprendre sur ce niveau.
L'interzone d'où je suis est pas facile à passer mais selon les années le niveau est parfois bien endessous de celui de la saison précédente cela due au changement de club de certains athlètes.

il est vrai que pour éviter cet écueil : à savoir un niveau variable selon les saisons, l'étape obligée d'un championnat national D2 parait justifiée. Pour quelques uns qui ont le talent ou la chance de pouvoir surprendre dans le cercle très fermé des D1, combien vont à "la boucherie" et rentrent frustrés de n'avoir pu s'exprimer après cette journée (parfois très très courte ....) Une étape par un France D2 ne serait -elle pas plus profitable en terme d'expérience ? Rencontrer les "Tops", pour s'étalonner, cela est toujours possible dans les tournois nationaux.
J'ai connu une époque où tout le monde pouvait se rencontrer....avec un plateau en plus très très fourni, c'était vraiment une autre expérience !
Je vois trop de jeunes frustrés par cet aller-retour Paris qui ne leur a pas apporté grand chose ... sinon un goût amer de "trop peu ".

Je déterre un peu le sujet, mais ça m'intéresse. J'ai bien connu le temps de la 2e div, et on peut dire que c'était pas folichon avec deux championnats super fermés et très sclérosés. Une 1e div plus ouverte, cela ressemble déjà plus aux championnats de ma jeunesse où un cador pouvait tomber au premier tour, à 8h du mat, battu par un sans grade. Ça posait des problèmes à l'encadrement, mais c'était excitant. Et je me rappelle encore de Thierry Rey battu par un junior - c'est à cause de lui qu'on a eu Alexandre en équipe de France et qu'i a fait la carrière qu'on connait. Il y a deux ans, on a vu Barata qui débarquait du Japon qq mois plus tôt et d'autres comme ça. Le problème du niveau, c'est le problème du judo français aujourd'hui : il ne se passe pas grand chose dans les clubs et pas grand chose non plus dans la filière ! Pour avoir des bonnes surprises, il faudrait que les clubs reprennent la responsabilité de former aussi de la jeune élite créative, technique, compétitive. Tout à refaire...

Je te rejoins dans le sens où avant un inconnu jouait son championnat en brillant sur un combat. Le problème est qu'il arrivait que des têtes de série glissent dans les premiers tours. Encore qu'à l'époque on prenait 8 mecs pour le tournoi de Paris, c'était plus facile de repêcher grâce à la poule de sélection.
L'avantage pour ce nouveau chpnat de France, c'est qu'il dynamise les clubs de province, la sélection étant tellement difficile à obtenir en IDF.
Le seul bémol, c'est ce chpnat de 2ème division qui n'a plus de sens, c'est un tableau de repêchage mais plus un chpnat de France.
Enfin ce n'est que mon humble et virtuel avis.

Deuf a écrit:

Je te rejoins dans le sens où avant un inconnu jouait son championnat en brillant sur un combat. Le problème est qu'il arrivait que des têtes de série glissent dans les premiers tours. Encore qu'à l'époque on prenait 8 mecs pour le tournoi de Paris, c'était plus facile de repêcher grâce à la poule de sélection.
L'avantage pour ce nouveau chpnat de France, c'est qu'il dynamise les clubs de province, la sélection étant tellement difficile à obtenir en IDF.
Le seul bémol, c'est ce chpnat de 2ème division qui n'a plus de sens, c'est un tableau de repêchage mais plus un chpnat de France.
Enfin ce n'est que mon humble et virtuel avis.

Voilà, c'est comme ça que je t'aime, quand tu retrouves le naturel.

C'est vrai que les 2e div ne servent plus à grand chose, mais je suis partisan d'une filière d'accès large aux 1e div. pour créer de la concurrence, donner envie aux jeunes, à la province, ne pas trop décourager celui qui a glissé... Bref de la vie et de l'espoir.

Super Organisation !!!!
pesée à 8 heures..... normal.... mais 11 heures entre la fin de la pesée et le dernier combat pour certaines catégories. Comme toujours, pesée des filles tout juste 2 heures après celle des garçons : donc des temps d'attente dingues entre les combats pour laisser combattre quelques filles entre les tours des garçons ! Alors on commence par les filles ou par les garçons ou alors on prévient des choix car c'est une vraie galères pour les combattants qui étaient en "mode furtif" : j'y vais... ou pas, et quand ? Sans compter la pause repas des arbitres qui n'était pas annoncée à l'avance.
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Qu'on réfléchisse un minimum du fait que rester motivé sur un si long temps c'est galère pour tout le monde avec bien sûr des baisses de concentration et de forme (boire ou pas, manger ou pas ????) A on se décide : soit les filles à 8H et les garçons à midi soit l'inverse mais pas comme cela a été fait : un peu de respect pour les
athlètes !!!! Puisqu'il parait qu'il faut faire des économies et donc tout regrouper sur une journée et donc rogner sur les frais d'arbitrage, mais les économies sont peut être à faire ailleurs : par exemple sur les super salaires que se sont octroyés le Président (lui aussi !...), le DTN et j'en passe.
Mais, comme en politique, ceux sont les pointes de l'organigramme qui touchent et les autres qui galèrent !javascript:emoticonp('')
Aujourd'hui il faut VRAIMENT avoir la foi pour pratiquer le judo en compé. !
Sans compter, bien sûr pour eux les autres galères que sont les différentes interprétations des nouveaux points de règlement : passer du tout au rien, il y avait de la place : simplement avec des sanctions graduées afin de laisser le temps aux judokas de s'y habituer.... sans compter les mouvements réels de judo amenés à disparaitre on ne sait pourquoi s'ils étaient faits en attaque et s'ils marquaient dans l'esprit...
Le judo va être le sport le plus coûteux pour certains : transport, inscription, temps passé pour parois quelques minutes seulement !!!! Encore "merci" pour les combattants qui, eux, font beaucoup de sacrifices et .... à quand la levée de boucliers des profs , des présidents de clubs, de départements, de régions ???? A quoi servent les assemblées générales ? :